22 septembre 2004, 0h00
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La décapitation d’un otage américain en Irak et la menace qui pèse sur un autre ne font pas vaciller George W. Bush. Bien au contraire: dans sa vision de la «guerre globale» engagée entre le Bien et le Mal, chaque nouveau crime renforce a posteriori sa conviction d’avoir eu raison contre ceux qui l’accusent d’avoir envahi l’Irak sur de faux prétextes.
Bush reste totalement indifférent aux critiques
Hier, devant l’assemblée générale de l’ONU, c’est un président américain en campagne électorale,...
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