24 septembre 2003, 0h00
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Un an après avoir menacé l’ONU d’obsolescence si elle n’approuvait pas la politique américaine vis-à-vis de l’Irak, c’est un président américain nettement plus modeste qui s’est présenté, hier, à l’ouverture de l’assemblée générale de l’organisation. George Bush avait retrouvé les accents du «conservateur compatissant», sur lesquels il avait bâti son élection, pour plaider l’aide internationale en Irak.
Sur le fond, il s’est de facto rallié à la position française. Comme Jacques Chirac et com...
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