30 juin 2003, 0h00
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Après trois ans, l’institut de recherches GfS a pour la première fois mené une nouvelle enquête* approfondie sur l’attitude de la population envers le génie génétique, à la demande d’Interpharma, l’association des firmes pharmaceutiques pionnières de Suisse. Claude Longchamp, directeur de la division Politique et Etat de l’institut GfS et responsable de ce vaste projet présenté vendredi à Berne, répond aux questions de l’agefi.
La Suisse est-elle aussi fermée au génie génétique qu’on le croit...
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