10 octobre 2000, 0h00
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Les investisseurs anglo-saxons sont réputés pour être plus durs en matière de corporate governance (gouvernement d’entreprise) que leurs homologues d’Europe continentale. Toutefois, cela n’empêche pas qu’il subsiste certains travers au Royaume-Uni puisque le principe une action, un droit de vote (one share, one vote) n’est pas respecté par différentes entreprises ayant d’ailleurs plusieurs catégories d’actions.
Ainsi, par exemple, les actions «B» de la brasserie Young & Co représentant la plupar...
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