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Désormais, la saignée affecte aussi les marques horlogères

Le groupe LVMH est le numéro un mondial du luxe. Mais, cette puissance économique formidable ne le met pas à l’abri des re-dimensionnements de certaines de ses marques. Aujourd’hui, c’est la division horlogère qui souffre. A preuve, Ebel se sépare de 24 collaborateurs.

27 juin 2003, 0h00
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Nous l’avons écrit souvent dans ces colonnes, si toute l’horlogerie paie un important tribut aux événements et à la conjoncture morose, toutes les marques ne connaissent pas les mêmes difficultés. Si la situation n’est facile pour personne, ceux des horlogers qui jouissent d’une très forte légitimité, d’une histoire longue et qui produisent des garde-temps à haute valeur technique ajoutée voient leurs cheveux virer moins rapidement au gris que certains autres. Si on se penche sur la partie horl...
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