17 mars 2006, 0h00
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Il est peu dire (et un peu ironique) que l’espoir était grand, pour les initiateurs de l’étude internationale HOPE-2, dont les résultats viennent d’être présentés au 55e congrès annuel de l’ACC (American College of Cardiology). Tout a commencé au début des années ’70, lorsque plusieurs enquêtes épidémiologiques ont mis en évidence un risque accru d’infarctus ou d’attaques cérébrales chez des individus dont le sang était particulièrement riche en un acide aminé, l’homocystéine. Des études sur l’a...
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