10 janvier 2002, 0h00
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«Il n’est pas question d’investir dans une société familiale ou contrôlée majoritairement». Il est fréquent d’entendre une telle remarque. A juste titre ou non. Car on ne peut pas mettre toutes les sociétés de cette catégorie dans le même panier. La Compagnie Financière Richemont, dont la famille Rupert possède 50,5% des voix et 9,1% du capital, pourrait difficilement être mieux gérée qu’elle ne l’est actuellement. Il en est de même de Hilti, dont les voix sont toutes en mains de la famille Hilt...
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