19 décembre 2007, 0h00
Partager
Les nouvelles macroéconomiques n’ont que marginalement influencé les marchés hier. Ni le retour des cours du pétrole à la hausse, ni des mises en chantier de logements en baisse de 3,7% en novembre aux Etats-Unis n’ont véritablement déclenché de réaction. «Les marchés sont devenus assez immunisés contre les nouvelles de la détérioration de l’immobilier américain, résumait hier un économiste dans une dépêche d’agence. Même les bons chiffres de Goldman Sachs (lire en page 16) n’ont pas apporté de ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT