10 avril 2008, 0h00
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«Comme le dollar, la livre sterling doit payer pour les exubérances du passé». Pour Michael Klawitter, analyste chez Dresdner Kleinwort, le déficit des comptes courants britanniques a pris de l’ampleur ces dernières années et à 4% du PIB, est désormais significatif. Tant que la devise restait stable face à l’euro et qu’elle bénéficiait des opérations de carry trade, financer le déficit n’était pas un problème. Sans ces entrées de capitaux, la livre doit se déprécier. Et c’est déjà largement le c...
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