22 août 2008, 0h00
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«Les cerveaux de notre économie ont lamentablement failli». Abordant les origines de la crise des crédits hypothécaires, Joseph Stiglitz n’y est pas allé avec le dos de la cuillère, hier, lors de son intervention à la réunion des Prix Nobel d’économie qui se tient à Lindau jusqu’à demain. Le professeur à l’Université de Columbia et lauréat en 2001, a tiré à boulets rouges sur les autorités de régulation financière internationales et américaines, et plus particulièrement sur Alan Greenspan, prési...
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