03 novembre 2005, 0h00
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Comme la Deutsche Börse en mars, Euronext fait face à une fronde grandissante de ses actionnaires anglo-saxons, qui refusent que le groupe boursier paie le prix fort pour s’offrir le London Stock Exchange (LSE), préférant plutôt une alliance avec sa rivale allemande (lire également notre édition d’hier). Alors que les autorités britanniques de concurrence viennent d’autoriser un rachat de la bourse londonienne par Euronext, le fonds spéculatif Atticus Capital, qui détiendrait 9% du capital d’Eur...
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