03 août 2000, 0h00
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Sont-ils suffisamment protégés, les conseillers fédéraux s’exprimant en public? Faut-il renforcer les mesures de sécurité? L’incident du mardi 1er août sur la prairie du Grütli – où le ministre des Finances Kaspar Villiger fut copieusement chahuté par plus d’une centaine d’extrémistes de droite – relance la polémique.
C’est le Service de sécurité de l’administration fédérale – désormais rattaché à l’Office fédéral de la police – qui mène le jeu. Lui n’a pas de troupes sous la main. Car il n’exis...
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