18 décembre 2007, 0h00
Partager
«Spi» comme le surnomme ses 70.000 employés n’a pas eu besoin de discours fleuves dont il a le secret pour détailler le plan de reprise d’Alitalia. «Nous proposons un échange d’actions permettant à l’italienne d’entrer de plein droit dans le holding avec Air France-KLM. Il s’agirait d’une alliance et pas d’une acquisition», a donc synthétisé hier Jean-Cyril Spinetta, CEO du groupe franco-néerlandais. L’énarque de formation pose donc ainsi, à 64 ans, les conditions d’une reprise de la compagnie d...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT