30 juillet 2003, 0h00
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Depuis la faillite d’Enron en décembre 2001, l’image du monde des affaires américain a été entachée par une poignée de dirigeants dont on a découvert qu’ils n’hésitaient pas à se servir dans les caisses pour satisfaire des caprices de stars.
Entre le pied de parasol en forme de chien payé 15.000 dollars et la soirée d’anniversaire à 2 millions de dollars sur le thème de la Rome antique, où l’attribut viril d’un faux David de Michel Ange fait office de fontaine à vodka, les frasques de l’ex-PDG ...
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