05 mars 2010, 0h00
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La course à la succession de l’avion de combat Tiger (remplacement partiel) semble pétrifiée, le Conseil fédéral n’ayant toujours pas publié un rapport-fleuve très attendu. La rumeur devient insistante: ce retard est politiquement préprogrammé. Parmi les prétendants (Dassault, Saab et EADS), cette situation d’incertitude est vécue de manière contrastée.
En France, la Cour des Comptes a récemment épinglé, avec une vigueur inhabituelle, les hausses de coûts du candidat Rafale. On y apprend – et...
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