07 août 2007, 0h00
Partager
Vendredi et samedi, le Sénat, puis la Chambre, juste avant de s’ajourner pour un mois de vacances, ont accordé un répit précieux à George Bush: Un appui du Congrès, qui le critique vertement par ailleurs, au moment où il affronte des situations peu agréables dans sa politique mondiale qu’il doit revoir. Ils ont donné pour six mois au Service national des écoutes, la National Security Agency, le droit d’intercepter toutes les communications passant par un réseau américain, d’où qu’elles viennent ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT