15 mai 2007, 0h00
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Le marché n’a pas caché sa satisfaction, même si elle s’est atténuée en fin de journée. Aux notables exceptions de BMW ou d’Audi, les groupes automobiles européens, de Renault à Fiat, en passant par VW ou Peugeot et bien sûr DaimlerChrysler, accéléraient hier. Pouvait-il en aller autrement, puisque le titre du constructeur germano-américain ne s’est jamais remis de la fusion qualifiée il y a neuf ans «d’entre égaux»? Même le prix de l’opération passait hier au second plan face à cette séparation...
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