23 octobre 2006, 0h00
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Dans le sillage de l’élection de George W. Bush en 2000, deux hommes tinrent un petit déjeuner «secret» pour ourdir une réforme historique du système américain des retraites. Paul O’Neil*, secrétaire au Trésor, était en total accord avec Alan Greenspan pour allouer la manne des excédents budgétaires de l’ère Clinton à la résolution de ce problème structurel de l’économie. Malheureusement, on sait ce qu’il advint du projet, réduit à néant par la baisse des impôts et le financement de la guerre en...
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