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Déficit dans l’AI: les malades aussi sont responsables

L’assurance invalidité (AI) boucle ses comptes 2002 avec une perte de 1,2 milliard, alors que le taux de charge sociale ne cesse de grimper. Pourtant, la plupart des revenus sont soumis à l’AI. Certes, l’AI couvre beaucoup de cas de santé, mais le gouffre financier soulève de nombreuses questions, et le vieillissement croissant de la population ne fait qu’accentuer cette tendance. Les solutions semblent se trouver dans une meilleure collaboration entre les diverses institutions impliquées, médecins et malades compris. Mais force est de reconnaître que l’assistanat a ses limites et que le malade est également responsable.

29 septembre 2003, 0h00
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En 2002, l’assurance invalidité (AI) bouclait ses comptes avec une perte de 1,2 milliard et une dépense de 11 milliards. Le graphique 1 montre que les dépenses ont quintuplé en vingt ans. Par rapport à 2001, les dépenses globales ont augmenté de 5,3% et les prestations en espèces de 7,0%. Les cotisations des assurés et des employeurs ont augmenté de 1,6%. Les pouvoirs publics assument 50% des dépenses. Comme les coûts sociaux n’ont cessé de grimper, le taux de charge sociale est passé de 13,5% d...
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