23 août 2006, 0h00
Partager
En Suisse, quand un problème se présente, on invoque parfois un goût pour l’autoflagellation afin de le réduire. En France, on en fait des livres qu’on dissèque à longueur de plateaux télés. «Psychose française », «Malheur français», «Guerre des deux France»… Les titres dans les vitrines des librairies sont sans équivoque en cette rentrée. Vaguement libéral, hier, le déclin se décline désormais sous tous les angles et depuis tous les bords politiques. Cela incite au scepticisme. Non pas que tout...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT