06 juin 2000, 0h00
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Il y a trois semaines, les marchés obligataires étaient assommés par la résurgence de l’inflation. La Fed venait de relever son taux d’intérêt directeur de 6% à 6,5% et semblait vouée à compléter la dose le 28 juin. Quelques jours plus tard, le mot «ralentissement» a pris la place du mot «inflation» dans les titres de la presse financière. Les marchés obligataires exultent, emportant dans leur sillage un marché des actions qui supportait de plus en plus mal les tours de vis monétaires. Digne d’u...
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