11 juin 2015, 22h46
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En attendant que le Conseil fédéral parvienne à convaincre la Commission Européenne de changer l’esprit et la lettre de la libre circulation des personnes, la dénonciation des six autres Accords bilatéraux I par l’UE représente toujours le risque le plus élevé pour la Suisse. Il est dès lors difficile de comprendre que l’examen de leur contenu et des avantages économiques avérés n’ait toujours pas été entrepris. Ni par l’administration fédérale, ni par les organisations économiques ou syndicales...
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