12 août 2011, 0h00
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«Un peg? Une contrainte supplémentaire.»; L'éventualité d'arrimer temporairement le franc à l'euro a bénéficié d'une certaine crédibilité hier dans le marché (lire ci-contre et en page 9). Elle ne fait pourtant pas l'unanimité chez les économistes et commentateurs spécialistes du marché des devises. A l'image de George Magnus (UBS), nombreux sont ceux qui ont émis de bonnes raisons pour que la Suisse ne cède pas à cette alternative.«Je n'y vois aucune pertinence. Un peg acculerait davantage la B...
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