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De la difficulté d’imposer Rubik

Carlo Lombardini se montre sceptique sur la capacité de Berne à faire accepter le projet. Le Conseil fédéral n’a jamais brillé dans les négociations.

25 septembre 2009, 0h00
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sébastien ruche Sortie de la grise liste de l’OCDE, projet Rubik: avec la signature de nouvelles convention de double-imposition (Etats-Unis mercredi, Qatar hier et Espagne prochainement), la Suisse avance vers un apaisement des pressions internationales qu’elle subit. Mais le projet d’imposition à la source des clients étrangers n’en est encore qu’au stade d’idée. Une option certes séduisante pour la place financière suisse, mais qu’il faudra faire accepter au reste du monde. Ce qui est loin...
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