01 avril 2005, 0h00
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«Il y avait, dit-il, la Basse ville et le reste du monde. C’était un milieu pauvre et clanique, refermé sur lui-même, mais si libre. La rue était notre terrain de jeu.» Patrick Aebischer, président de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) se souvient de sa jeunesse «heureuse et inconsciente, la vie culturelle en plus».
Son père, le peintre Yoki, et sa mère d’origine irlandaise (en parlant de lui-même, il évoque souvent son «foutu caractère irlandais») habitaient d’abord un deux pièc...
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