12 février 2010, 0h00
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La Suisse n’est pas un territoire très clément avec les sociétés IT, encore moins spécialisées software. Les rares sociétés encore échangées sur le marché public souffrent toutes d’un déficit flagrant de visibilité: aucune ne bénéficie de la moindre couverture active. Syndrome des valeurs très small caps, vouées à jouer les compléments. Les titres sont sans surprise très peu liquides et les valorisations anecdotiques, reliquats de la bulle tech. Day Software, par exemple, ne pèse plus que 129 mi...
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