09 décembre 2004, 0h00
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En raison de la périodicité hebdomadaire de notre chronique, nous préférons généralement ne pas travailler les matières périssables comme les données conjoncturelles. Pour plusieurs raisons. D’abord, parce qu’elles sont bien couvertes par les médias quotidiens. Ensuite, parce que leur incidence sur les marchés est de courte durée, alors que nous nous attachons plutôt à l’éclairage du moyen terme. Enfin, parce que le contenu informationnel utile de ces données est faible. Elles sont souvent peu f...
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