27 novembre 2009, 0h00
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Michel Egger*
A la veille de la 7e conférence ministérielle de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), qui s’ouvre lundi à Genève, deux évidences s’imposent. D’abord, le cycle de Doha a déraillé. Lancé en 2001 pour rééquilibrer les règles de l’OMC en faveur des pays en développement, il est devenu un vaste souk centré sur l’accès au marché. Les propositions sur la table fin 2009 ne correspondent pas à ce qu’il devait être: un véritable cycle du développement. Leur concrétisation aurait des e...
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