02 mars 2005, 0h00
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L’historien américain David Wyman considère comme «incontestable» qu’«en matière d’accueil des réfugiés, la Suisse a été, si l’on tient compte de sa faible étendue, plus généreuse que n’importe quel pays, hormis la Palestine» («L’abandon des juifs», Flammarion, 1987). «Il n’y a pas beaucoup de pays qui peuvent se prévaloir d’en avoir sauvé tant», confirme pour sa part Gerhard Riegner, ancien représentant du Congrès juif mondial à Genève, dans son ouvrage «Ne jamais désespérer» (Cerf, 1998).
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