25 septembre 2007, 0h00
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La Suisse n’est pas à l’abri des répercussions négatives que fait planer la crise actuelles des crédits. «Plus les turbulences dureront, plus ces risques seront prononcés», estime Philipp Hildebrand, vice-président de la Banque nationale suisse (BNS).
Cette situation a incité l’institut d’émission à définir «trois priorités». La première consiste en une «collaboration étroite»
entre la BNS et la Commission fédérale des banques (CFB) dans le suivi, désormais «très intense»
, des données ...
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