Guy Mettan
Chroniqueur, journaliste indépendant
20 novembre 2008, 0h00
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La question n’est plus de savoir si la Chine peut sauver le moteur d’une croissance économique mondiale en panne, mais si elle peut se sauver elle-même. Les autorités chinoises, qui ont longtemps nié l’impact de la crise financière sur leur économie réelle, ont dû se rendre à l’évidence. En trois semaines, le ton a changé à Pékin. Fin octobre, les premières prévisions sur la baisse du taux de croissance à 8% au lieu des 12-13% habituels ont sonné l’alarme et le 9 novembre le Conseil d’Etat annon...
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