19 mars 2010, 0h00
Partager
«Nous ne sommes pas sortis de la crise. Le premier semestre 2009 a été plutôt étale, suivi d’un déclin durant la deuxième partie de l’année. C’est ce qui se produit lorsque l’activité des marchés est portée par une volatilité élevée. Déclin accentué par les incertitudes persistantes quant à l’aboutissement des réformes réglementaires en cours. Car nombre de groupes d’influence tentent de profiter de la crise, selon nous, pour créer des monopoles sur certains segments de marchés. Il est donc impo...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT