Court répit pour les otages de l’ONU

Les ravisseurs présumés des trois employés des Nations unies enlevés le 28 octobre à Kaboul ont à nouveau repoussé hier leur ultimatum pour que leurs demandes soient satisfaites. Ils exigent la libération de prisonniers. «Afin de respecter les Nations unies nous leurs avons donné plus de temps pour obtenir la libération des employés de l’ONU, en échange de la libération de nos prisonniers innocents», a déclaré Sayed Khaled, porte-parole présumé de l’«Armée des musulmans» (Jaish-e-Muslamin). Ce m...