11 novembre 2009, 0h00
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Son dernier rêve n’en finit pas de mûrir aux derniers rayons du soleil de Tiripur en Inde. «Combien de mangues avons-nous dans ce verger?», lance Robin Cornelius à l’un de ses partenaires indien? «De 10.000 à 30.000 par année et c’est de l’Alfonso, celle que je préfère. L’idée est un jour de ramener ces fruits en Suisse et de les vendre en ville – dégustés sur place comme des huîtres.» Dix mille mangues à deux francs, calcule-t-il, cela ferait 20.000 francs pour créer une «mango school en Inde»...
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