05 mai 2006, 0h00
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Prenez un vieux chef malade, de préférence ENA appellation d’origine contrôlée et, si possible, médaillé «supermenteur» au concours général agricole. Bardez-le d’une bande de candidats successeurs. Ajoutez-y une institution bancaire provenant d’un paradis fiscal AOC. Faites mijoter deux mois à l’étouffée dans un jus de CPE. Pimentez avec les notes d’un chef de service secret conservées un an dans un tiroir n’attendant que la justice. Glacez avec un bon procès-verbal protégé d’un secret de l’inst...
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