25 août 2009, 0h00
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Au lieu de vendre sa part trop tôt – comme la Confédération dans l’épilogue UBS – en négligeant un potentiel haussier prévisible, l’Etat de Vaud a préféré jouer une stratégie de plus long terme et attendre que la valeur boursière de sa participation dans BCV s’améliore encore. Fruit d’une décision prise avant la crise et validée l’an dernier par le Grand conseil, cette attitude donne désormais raison à cet actionnaire majoritaire, public et historique, qui cherche par ailleurs à se désengager pa...
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