22 septembre 2003, 0h00
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A moins d’un mois des élections fédérales, impossible, au lendemain de l’annonce de la première candidature à la succession de Kaspar Villiger, de ne pas réfléchir à l’avenir du Conseil fédéral et à une autre manière de gouverner. Dans un climat tendu, la discussion très sérieuse sur une reformulation de la sacro-sainte formule magique, datant de 1959, n’a plus rien d’académique. L’issue prévisible du scrutin populaire ne peut que raviver la prétention des démocrates du centre à avoir une représ...
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