25 novembre 2011, 0h00
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Une bonne analyse de la crise ne garantit pas le succès des mesures budgétaires imaginées pour en combattre les effets sur les finances publiques. Surtout si ces mesures commencent par des hausses d'impôts, obligatoirement soumises au vote du peuple, et finissent avec des risques de départ d'entreprises multinationales et de mise sous tutelle des caisses de pensions publiques, des risques se chiffrant en milliards. C'est donc peu dire que le Conseil d'Etat genevois est mal barré, au sens populai...
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