15 octobre 2003, 0h00
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Le conflit ouvert par les policiers genevois ouvre des perspectives d’avenir vertigineuses. On sait que depuis des décennies la maréchaussée du bout du lac drague ses recrues en Valais, à Fribourg et sur Vaud à coups de salaires nettement plus attrayants qu’ailleurs. Or, même au prix de traitements confortables, les candidats se font rares. A Genève et partout ailleurs, policier est un métier pénible fait d’horaires irréguliers et d’heures supplémentaires en pagaille. Pas un job pour les Suisses...
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