13 septembre 2006, 0h00
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En matière de réflexion sur les affaires humaines, il faudrait toujours garder une alternative présente à l’esprit. Lorsqu’un développement que nous jugeons négatif se présente, il renvoie soit à un «vilain» qui n’obéit pas aux règles internationales, soit à une inadéquation de ces règles qui oblige ce «vilain», quel qu’il soit, à ne plus leur prêter attention. On peut parfois mépriser les règles de la circulation pour de très bonnes raisons et apparaître comme un méchant chauffard, alors qu’il ...
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