17 février 2005, 0h00
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Hans-Rudolf Merz veut être clair. «Il n’y aucune raison de jubiler. Inutile de déboucher le champagne, nous nous contenterons du jus de fruits», a-t-il dit hier en guise d’introduction à sa présentation du compte d’Etat 2004. La tâche que le ministre des Finances s’est fixée est simple: éviter à tout prix que le mieux de 1,8 milliard de francs dégagé au bouclement du compte de l’année écoulé ne suscite l’illusion que les finances sont déjà sur la voie de l’assainissement.
Les finances de la C...
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