30 mai 2008, 0h00
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La recherche sur le pouvoir prédictif des taux de change a souvent rencontré des barrières quasi insurmontables. Aucune étude n’est en effet parvenue à mesurer de manière irréfutable l’impact de cette variable – pourtant forward-looking – sur le prix des actifs. Les tentatives sont toutefois nombreuses. John Campbell de Princeton et Robert Shiller de Yale avaient démontré en 1987 que les taux de change nominaux reflétaient les attentes des fondamentaux économiques. Plus récemment, Charles Engel ...
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