26 mars 2009, 0h00
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«Nous arrivons au cœur de la bête!», crie Marc Bloch. Le vacarme devient assourdissant. Les effluves de café grillé chargent l’air du matin. Des tuyaux transpercent de part en part une chambre haute de quinze mètres. Ils aspirent les grains verts, lavés par vibration, puis les propulsent vers une balance en forme de silo. «La torréfaction à mille mètres d’altitude, c’est notre marque de fabrique», appuie le directeur de La Semeuse. Marc Bloch a l’accent du cru, la poigne solide et le teint médit...
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