28 novembre 2005, 0h00
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Lorsque les indigènes au Pérou ont tué le maire de Ilave et les révoltes populaires généralisées en Equateur et en Bolivie ont poussé leurs Présidents à démissionner, les classes dirigeantes ont été sommées d’accepter l’instabilité des institutions. Les pays andins -Equateur, Bolivie, Colombie, Pérou et Venezuela- montrent des carences de gouvernance. Comment interpréter ces crises cycliques?
Sur le plan politique, les pays andins sont la résultante des symbioses des élites militaires et civile...
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