30 avril 2008, 0h00
Partager
Pour une fois, il y a quelques jours, on se félicitait d’entendre Micheline Calmy-Rey déclarer, lors de la conférence annuelle de la section suisse d’Amnesty International, «que les droits humains ne sont que lettre morte sans la volonté des Etats et des organisations internationales de les mettre réellement en œuvre et de prendre des sanctions contre ceux qui les violent sans céder à des considérations d’opportunité politique ou économique». Belles paroles, mais qui s’inscrivent dans un context...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT