02 mai 2005, 0h00
Partager
«Si nous voulons survivre, nous devons réaliser du volume. Nos charges financières sont très élevées et nous ne pouvons pas nous permettre de laisser notre matériel sous-employé.» Normale dans la bouche d’un chef d’entreprise, cette affirmation est certainement moins courante auprès d’un professionnel de la santé. C’est pourtant un médecin qui la prononce. Alain Naïmi est radiologue et spécialiste en médecine nucléaire. il dirige, conjointement avec quatre confrères dont un ancien professeur de ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT