02 décembre 2003, 0h00
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Il revenait à Christoph Blocher, doyen de fonction du Parlement (entré en 1979), de présider l’ouverture de la nouvelle législature et de tenir un discours. Au perchoir durant une heure hier (jusqu’à l’élection du nouveau président), il a axé son propos sur l’éloignement des décideurs, trop coupés des réalités.
Réalité sur papier
«Comme la plupart des députés dans le monde, nous siégeons dans une salle sans fenêtre», a-t-il constaté. «Ce qui nous empêche de voir le pays et la vie des gens,...
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