04 décembre 2007, 0h00
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Elle n’est plus la première citoyenne du pays. Depuis lundi, 16h10. La radicale Christine Egerszegi a passé le flambeau au démocrate du centre André Bugnon. Elle le fait avec certains regrets et un grand bonheur. Regrets, parce que, dit-elle, «j’ai aimé ce job, même s’il est dévorant». Bonheur, parce qu’elle aura de nouveau le temps de lire un bouquin, de se réveiller sans un ordre du jour noirci et de retrouver le combat politique. Elle est comme ça, Christine Ergeszegi. Elle peut jouer les pré...
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