14 septembre 2009, 0h00
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«C’était trop beau pour être vrai.» C’est ainsi que Karl-Friedrich Scheufele, co-président de la société Chopard, qualifie dans la NZZ am Sonntag la précédente période d’euphorie horlogère de ces cinq dernières années. Depuis une année maintenant, la situation a bien changé, avec notamment un effondrement de 33% des exportations de montres haut de gamme, créneau dans lequel se meut l’entreprise familiale genevoise. Chopard se porte mieux que la moyenne du secteur, selon le vice- président qui év...
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