18 mars 2004, 0h00
Partager
Les Suisses ne semblent pas prêts à renoncer à la liberté de choisir leur médecin. Ils n’y consentiraient que si leur prime mensuelle d’assurance maladie baissait de 100 francs. Ils sont d’accord en revanche de ne plus avoir droit au remboursement de médicaments, dits bagatelle.
Ces informations ressortent d’une vaste étude menée par l’institut bernois Plaut Economics et l’institut d’économie sociale de l’Université de Zurich, sur mandat de nombreux partenaires du système de santé, des médecins...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT